Nos photographes


Marie-Hélène ALEPEE

Histoires d'Eau - marie-helenealepee.weebly.com - Facebook - Instagram

Née en Alsace, je vis actuellement en Lorraine. Ce sont mes parents qui m’ont fait découvrir très tôt la beauté et la richesse de la Nature vosgienne. Je passe alors des heures à observer le microcosme qui m’entoure, tous les sens en éveil, émerveillée par chaque découverte.

Pour retranscrire toutes ces émotions, j’ai commencé à peindre la Nature. Ce n’est qu’en 2010 que je me suis lancée dans la grande aventure de la photo. Mes premières images sont plutôt naturalistes mais très vite je m’oriente vers une approche plus créative, privilégiant l’ambiance et l’émotion. Depuis peu, j’ai découvert le monde fascinant de l’hyper macrophotographie. Dans cet univers onirique et coloré s’apparentant aux fonds marins, évoluent des organismes d’un millimètre. J’y ai découvert tout un écosystème avec ses propres prédateurs ! Ce monde inconnu et fantastique nous offre de nouvelles possibilités où la poésie est reine. Un moyen également de dévoiler ses émotions et de laisser libre cours à sa créativité. Ainsi, telle une peinture, chaque image possède sa propre signature visuelle.

 

A propos d'Histoires d'Eau

Tantôt glaciale, je crée sous la bise des décors éphémères.

Tantôt jaillissante, exubérante, tel un peintre je mélange les couleurs.

Tantôt lisse et sage, le ciel et les arbres se reflètent dans mon miroir,

Les libellules virevoltent et me frôlent dans leurs ébats, les gerris patinent.

Et qui sait, peut-être un jour, apercevrez-vous

Ondine alanguie sur son lit de perles fines !


Laurence ARNAUDIN

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Depuis l'enfance j'ai été attirée par les disciplines artistiques, musique, dessin , peinture, modelage que je pratique toujours avec le même plaisir. La photographie est venue plus tard , il y a 4 ans seulement. Mes domaines de prédilection sont la photo nature, animalière et la "nature morte". 
Les compositions qui sont présentées sont crées avec du papier, du carton, de la pâte à modeler et quelques petits objets glanés au fond des tiroirs. Les décors sont réalisés spécialement pour la prise de vue. Les éléments sont mis en scène pour que la photographie leur donne vie.
L'univers proposé invite à la rêverie, au souvenir de l'enfance où un petit rien rendait si heureux

 


Yves AUBOYER

Les couples au fil du temps - www.ouaf-ouaf.com - Facebook - Instagram

Yves Auboyer a débuté la photographie lorsqu’il avait à peine 10 ans avec un appareil rudimentaire chargé de pellicules en noir et blanc. Touche à tout, il a abordé de nombreuses pratiques allant du portrait à la macro-photographie, en passant par le paysage.

Mais une seule discipline l’a suivi durant tout son parcours de véritable passionné : la photo de rue « instantanée », ou encore « street photography ». Il a pris l’habitude de photographier toutes les personnes gravitant dans son environnement depuis le plus jeune âge, tant à la ville qu’à la campagne.

Probablement marqué par ses premières années dans cette pratique, il a gardé un goût prononcé pour les choses simples et efficaces. Ainsi, il apprécie tout particulièrement les tirages monochromes mettant en évidence l’essentiel, et recherche le grain des anciens films Kodak pour ses expositions et tirages papier.

Par ailleurs, il photographie presque toujours au plus près des scènes qui l’intéressent, « à la volée » (sans viser), favorisant les focales dédiées au reportage telles que le 28mm. Enfin, son regard, généralement très taquin, parfois plein de compassion, se veut toujours empli de respect et de bienveillance. C’est ce qui permet de le « classer » dans la catégorie des photographes humanistes, bien qu’il déteste mettre les gens « dans des cases » !


Christophe BOGUSLAWSKI

CERF - Facebook - Instagram

Pourquoi la forêt, probablement parce que je m’y sens bien. Etre seul au milieu de nulle part. Observer, écouter, sentir, être présent lorsque la nature s'éveille. Être Là, au bon endroit, au bon moment, en toute discrétion. Voilà en quelques mots ma quête lorsque je suis en pleine nature.

Mes images résument ces nombreuses sorties à l'aube ou lorsque le jour s'éteint. Passionné de nature dès mon enfance, je suis profondément attiré par cette forêt qui ne nous livre jamais vraiment ses secrets et qui nous surprend sans cesse. Ambiances particulières, attitudes, lumières et brumes sont les principales composantes de mes images.

Pourquoi le Cerf, et bien je n’ai pas de réponse. Il me hante depuis mon plus jeune âge. Chaque apparition est un instant d’une pure magie. Fantôme discret et surprenant, quel bonheur de le découvrir à chaque saison dans ses jardins baignés de brumes solognotes. Durant ces nombreuses années, j’ai tenté de le suivre et de l’observer pour le magnifier dans son environnement le plus sauvage possible.

La quasi-totalité de mes photographies sont réalisées en Sologne, territoire que je découvre au début des années deux mille et que je ne quitte plus. Forêts boisées, landes, plaines, chemins de bruyères, étangs, bienvenue au pays de Raboliot.

Tant qu’il y aura des cerfs...


Olivier BONNET

Les arbres nous parlent ? - olivierbonnetphoto.com - Facebook - Instagram

Pendant 25 ans, Olivier Bonnet a travaillé comme cameraman puis comme cameraman et réalisateur pour le magazine de la mer "Thalassa" , diffusé sur France 3. Il a parcouru le monde, sa caméra sur l’épaule, pour filmer les vies de femmes et d’hommes de mer. Il a tournée dans des paysages somptueux et fait de magnifiques rencontres. MAIS il a vu aussi notre planète se recouvrir de déchets : marées noires de l’Erika et du Prestige, les derniers ours polaire affamés à Churchill au Canada et les premiers réfugiés climatiques des îles Carteret, en Papouasie Nouvelle Guinée…

Aujourd'hui, après de nombreux reportages pour Canal+, LCP, ... il souhaite s’investir dans la sensibilisation à la protection de la nature et de la biodiversité. Afin d'encourager l’espèce humaine a retrouvé sa place dans le monde du vivant et renouer avec lui.

Son travail photographique sur les arbres, commencé il y a sept ans, veut avant tout nous faire aimer les arbres et nous inciter à s’inspirer de leurs manières d’être au monde.


Bruno BOURLE

Manga Photography - brunobourlephotographie.fr - Facebook - Instagram

Artiste installé à Metz, j’ai découvert la photographie dans les années 1990 avec la magnifique expérience de l’argentique. Elle s’est naturellement imposée de nouveau à moi, il y a une dizaine d’année avec l’avènement du numérique. Art extraordinairement enrichissant, la photographie est un moyen d’expression et un outil de création, mais pour moi, elle est surtout une passion dévorante. Autodidacte, j’ai progressé et évolué en écoutant, en regardant, en apprenant, en pratiquant et travaillant sans relâche, grâce notamment aux rencontres que je fais lors d’expositions, mais aussi avec quelques photographes de qualité que j’apprécie particulièrement. Ma démarche de photographe artistique se base sur le portrait que je cherche à enrichir de manière créative. Je recherche à travers la photographie humaine à retranscrire émotion, ressenti, expressions et imaginaire. J’ai ainsi eu la chance d’être sélectionné sur de nombreux festivals nationaux pour mes travaux. J’ai beaucoup utilisé la féminité dans mes œuvres et j’essaye aussi de faire passer certains messages. Le fil conducteur de mon travail reste bien souvent la surimpression.

A propos de Manga Photography

Le mot japonais « manga » souvent traduit littéralement par « image dérisoire » ou « dessin non abouti », est composé de « ga » qui désigne la représentation graphique (« dessin », « peinture » ou toute image dessinée), et de « man », (« involontaire », « divertissant », « sans but »). Allier ces dessins à de la photographie graphique me tentait, le résultat se veut surprenant. Les photographies utilisées sont toutes réalisées par mes soins, des jeux de surimpressions en font le résultat final. De jeunes artistes locales, créatrices des mangas qui me servent de matières premières dans les créations, m’ont gentiment aidé à construire ce travail photographique.


Denis CANTIN

Écosse - deniscantin.com - Instagram

Mon intérêt pour la photographie a commencé alors que j’avais à peine 18 ans. J'ai connu le monde de l'argentique comme beaucoup d'entre nous avant de basculer en numérique dans les années 2000.

J'ai toujours eu beaucoup d'attirance vers la photo de paysage. La nature, les grands espaces mais aussi les villes constituent mes sujets. De jour comme de nuit, la lumière est mon alliée. J'aime les ambiances chargées, les ciels sombres où l'on sait qu'il va se passer quelque chose. Les pays du nord m'attirent inexorablement pour ces ambiances incertaines, changeantes et parfois même inquiétantes.

Si je devais citer un grand photographe dont j’admire le travail, je parlerais sans doute de Ansel Adams que j’étudie et dont je m’inspire beaucoup. Bien sûr, il y en aurait bien d’autres plus actuels comme Max Rive ou bien encore Daniel Kordan dont j’admire le travail également, une approche plus moderne de la photographie de paysages qui me correspond bien...

Source : O2 le cercle des photographes


Catherine CHANSAC

Les Organiques - www.catherinechansac.com - Facebook - Instagram

Je consacre mon travail artistique à produire des séries d’images photographiques que j’ai appelé: Les organiques.

Cette expérience esthétique évolue autour de la notion de « traces ».

J’expérimente la photosensibilité du monde, utilisant le soleil comme faiseur d’ombres et sculpteur de vie. Les ombres sont les traces qui façonnent mes images.

L’expérience est tout d’abord sensorielle, je collecte en me promenant dans nature des fragments de feuilles, de fleurs, d'herbes, de graines, de graminées, d'algues, de lichens, d'insectes, de poussières, de cendres, de matières mortes, desséchées ou même en décomposition trouvées au sol ou dans l'eau.

J’utilise ensuite les procédés du photogramme et du cyanotype pour mon processus de création. Je dispose les fragments collectés sur du papier que j’ai rendu

photosensible en peignant du cyanotype (une émulsion photosensible, mélange de sels de fer) que j’expose ensuite au soleil. L’ombre des fragments déposés sur le papier photo-sensibilisé laisse la trace de ceux-ci. Le papier semble imprégné d’une image invisible qui ne demande qu'à être révélée; comme si l’image était caché dans l’émulsion et sous les fragments. Cette image latente apparaît progressivement tout au long de l’exposition au soleil c’est le lavage à l’eau qui révèle l’image finale. Ces œuvres sont uniques, non reproductibles.


Olivier CHANTOME

(F)riche en mémoire - www.olivierchantome.com - Facebook - Instagram

A propos de (F)riche Mémoire

L’ensemble du secteur urbain et industriel du quartier Balsan à Châteauroux (36) se trouve être au coeur d’une grande restructuration urbaine depuis le milieu des années 2010 avec en point d’orgue la réhabilitation de l’ancienne usine Balsan, connue pour avoir, entre autres, fourni les uniformes français Bleu Horizon durant la Première Guerre mondiale. Abandonnée depuis les années 1980, son état d’abandon et sa renaissance prochaine permettent visuellement de comprendre la patrimonialisation d’une friche industrielle au passé glorieux. L’objectif de mon approche photographique est d’interroger la mémoire et le patrimoine industriel de ce quartier en lien avec une démarche esthétique et contemplative sur l’objet-ruine. Ce travail a fait l’objet d’une publication : Balsan, (F)riche en mémoire, publié aux éditions La Bouinotte (Châteauroux), 2023.


Christine DECROCQ

Touche picturale - Facebook - Instagram

Attirée depuis mon plus jeune âge par les arts plastiques et la photographie, autodidacte, je me suis consacrée pleinement à la photographie au début des années 2010. J'ai délaissé partiellement l'aquarelle, le dessin et le pastel, … sans toutefois perdre de vue le côté pictural dans ma pratique photographique. Cela transparait dans mon approche globale plus esthétique et instinctive que technique.

Mes photographies ont progressivement évolué tandis que je prenais plus de libertés dans mes prises de vues en me laissant guider par mon inspiration et mon imagination. Le résultat est parfois abstrait, graphique, pictural, volontairement éloigné de la reproduction du réel. Parmi les techniques que j'utilise, le cadrage serré, les reflets et le filé à la prise de vue, donnent une approche photographique souvent à la jonction des arts.


Cyrille DONIER

Le Grand Tétras, beauté fragile - Facebook - Instagram

Suite à ma première passion, j'ai débuté la photo en janvier 1991 lors du rallye de Monte- Carlo. Débuts difficiles, à l'heure de la photo argentique, s'en est suivi le passage à la photo numérique, une évolution laborieuse pour moi. Grâce au rallye, j'ai eu le plaisir de parcourir de nombreux pays d'Europe. Avec l'envie de connaitre de nouvelles aventures, l'année 2012 a été pour moi la découverte de la photo animalière. J'y ai tout de suite trouvé un grand plaisir et j'y ai fait des rencontres superbes qui m'ont appris et fait comprendre beaucoup de choses. Je tiens vraiment par le biais de mes images à partager tout le plaisir que je ressens quand j'effectue celles-ci, je tiens aussi à sensibiliser sur la beauté et la fragilité de dame nature. Cette passion m’a emmené a réaliser un rêve de gamin , créer et écrire deux livres; le premier généraliste sur la Faune du Haut-Doubs - ``Sauvagement Doubs´´ et le deuxième exclusivement sur le Renard - ``Renard - L’éternel incompris´´.

A Propos du Grand Tétras

Le Grand Tétras est le volatile le plus emblématique de ma région. Il est aussi appelé coq de Bruyère, de la famille des gallinacés, sa taille oscille entre 75 et 90cms pour un poids de 3,5 à 4,5 kg. Magnifique par sa prestance ,son comportement et ses couleurs, c’est un sujet extraordinaire pour tout photographe. Sa présence reste encore précaire dans les forêts du Haut Jura avec environ 290 individus (140 coqs), répartis dans le Doubs, le Jura et l'Ain et environ 4500(2250 Coqs) sur le territoire Français .Pour garantir son développement ,de nombreuses restrictions sont mises en place lors de la période de reproduction, elles sont amenées à se durcir dans les années a venir.
J'ai eu la chance de côtoyer quelques grand tétras, libres et sauvages. Depuis l’hiver 2016,jusqu’en automne 2022 , tous séparés de quelques kilomètres. Contrairement à certains individus qui recherchent le calme et tolèrent très peu le dérangement, ceux-ci ont élu domicile dans un secteur forestier , proche du passage de l'être humain. Ce qui m'a permis un échange certes un peu plus facile ,mais aussi de construire des images différentes en évitant tout dérangement sur une place de chant sensible. Par le biais de ces images, j'ai vraiment souhaité mettre en avant la beauté du Grand tétras, avec ma vision de photographe passionné et écarter la vision naturaliste qui colle aux plumes de cette espèce.
J'ai donc le plaisir de vous présenter mon travail sur le Grand Tétras.


Annie DORIOZ

Impressions citadines - www.anniedorioz.com - Facebook - Instagram

A propos d'impressions citadines

Dans cette série j’ai souhaité faire un portrait de la vie citadine, sans souci de localisation (ce pourrait être n’importe où) mais en privilégiant des ambiances, des lumières, des couleurs, des lignes, comme des souvenirs que l’on garde après s’être promené en ville, des « impressions » qui restent. Souvent tout petits dans les grandes villes qu’ils érigent les citadins sont là, silhouettes menues mais qui pourtant apportent le poids  précieux de leur présence dans un cadre que j’espère être très graphique. Observer les humains dans leur environnement est un exercice que je pratique volontiers car j’aime à la fois la photo de rue et la photo d’architecture. Le milieu urbain représente pour moi une source permanente d’inspiration. J’aime les villes et j’essaie d’en faire un portrait coloré et chaleureux…


Christian FLEITZ

Vibratoire et trait de lumière - photographedutrait.com - Facebook - Instagram

Je crois en une magie de l’enfance qui résiste au temps. Un magie qui fait que tout reste possible. L'utopie me motive , le ridicule m'intéresse, et ce qui n'a aucun intérêt me passionne. Car la banalité du quotidien est parfois la porte dérobée qui peut nous permettre de voyager d'un monde à un autre, notamment, de la réalité à l'imaginaire. Rêver sans limite, c'est prendre le risque d’être tout sauf crédible, et être parfois perçu comme étant une sorte d’incident de parcours au sein de sa propre discipline. C'est d'autant plus vrai quand on ose l’absurde, en développant une conception de la prise de vue qui va jusqu'à vouloir, véritablement, prendre en photo ce qui n’existe pas. Mais peu importe, car le plaisir est là, chaque jour, dans un émerveillement qui nourrit un travail de fourmi, qui consiste à construire sa propre écriture narrative avec la lumière. Et quel bonheur , finalement, de pouvoir traduire ses émotions en image, en faisant du spectateur le pionnier d’une esthétique nouvelle, et l’explorateur d’un espace photographique encore inconnu…

Alors bienvenue à vous dans ce nouvel univers, cette singularité artistique qui gomme les frontières entre les disciplines, avec un simple cliché. Car ici, ni dessin, ni peinture, ni montage, ni effets spéciaux informatiques. Ce que vous voyez, c'est ce que le photographe voit dans le viseur de son appareil photo, avant même d'appuyer sur le déclencheur. Tout le secret est dans la maîtrise de différents types de traits de lumière. Mais à chaque fois, quelle que soit la technique de prise de vue imaginée, et mise au point, tout n'est que “photon-graphie”, une photographie de toujours, une photographie authentique, qu’on pourrait aussi pratiquer en argentique. C'est donc une très bonne nouvelle. Non, la lumière n'a pas encore dit son dernier mot face à la puissance de l'image conçue informatiquement. Elle peut toujours nous surprendre, et nous révéler une autre de ses facettes. Alors, il ne tient qu'à nous de lui redonner la parole, par d'autres moyens, d’autres stratégies, pour qu'elle nous raconte de nouvelles histoires, et qu'elle puisse nous faire rêver, plus que jamais… les yeux grands ouverts !


Véronique FOURNIER

Chevaux sauvages - veroniquefournier-photographie.com - Facebook - Instagram

Après 2 maîtrises dans le domaine sportif, Véronique Fournier se laisse rattraper par sa passion pour la nature en général et plus particulièrement pour les mammifères marins. C’est auprès d’eux, et au cours de quelques beaux voyages, que la photographie s’est imposée comme une évidence dans sa vie.
Convaincue de la nécessité de « reconnecter » les gens à la Nature et de protéger notre si belle planète, Véronique crée NaturAnima en 2009, auto-entreprise spécialisée en éducation à l’Environnement. Elle obtient la même année le diplôme universitaire « Méthodes et Techniques de la photographie animalière et nature » dispensé à l’IFFCAM (Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute).
Son amour pour la photographie équestre s'impose progressivement par accompagnement de sa fille, cavalière passionnée, puis par attrait pour cet animal qui la fascinait déjà dans son enfance.
Animatrice nature et Photographe indépendante passionnée, Véronique Fournier cumule avec bonheur ces deux activités qui sont pour elle étroitement liées. Ces activités lui permettent de partager son émerveillement face à notre environnement, riche, étonnant, fascinant et pourtant chaque jour un peu plus malmené et en danger. La photographie est pour elle un élément puissant de communication et d’expression, basé sur le partage et l’échange. Véronique essaie au travers de ses images de retranscrire les émotions ressenties sur le terrain et de témoigner de l’incroyable beauté de la Nature.

Pascal GIRAULT

Au delà du visible, la Loire en héritage - photopatrimoine.fr - Facebook

Photographe professionnel depuis 30 ans, je me suis spécialisé dans les patrimoines humains et naturels.

La photographie infrarouge numérique apporte une imprévisibilité très stimulante sur le plan créatif. Les surfaces, les objets, tout ce qui nous entoure, réfléchissent des longueurs d’onde infrarouges détectables par certains capteurs numériques mais invisibles à nos yeux. La gamme et l’équilibre des tons et couleurs sont inattendus et diffèrent de notre perception. Elle ouvre les portes d’un nouveau monde visuel et créatif.

La « toute relative » abstraction des couleurs permet de concentrer le regard du spectateur sur le sujet, d’épurer les images. Ces images d’un monde qui d’ordinaire échappe à nos regards, sont des « effractions » de l’apparence qui nous invite à vivre autrement notre plus ou moins grande proximité des choses.


Dany GODINEAU

400m2 de nature en Touraine - www.acpc-photos.com

Photographe autodidacte, membre de l’ACPC et de MER’VEILLES NATURE, cela fait plusieurs années maintenant que je réside dans l’est tourangeau.

Avec cette exposition, je vous propose de partager mes moments privilégiés avec la faune locale.

Dans un verger en friche à quelques enjambées de mon domicile donc avec un minimum de déplacements, je montre ainsi la biodiversité que l’on peut y rencontrer. Dans ma cabane, j’observe et je photographie ce coin de nature : une clairière d’environ 400 mètres carrés bordée d’aubépines, de ronciers, de veilles souches, de quelques grands chênes et d’une mare : l’équivalent d’une auberge d’hiver pour la faune.

Par la saisie des attitudes et des lumières, j’essaie d’immortaliser cette faune locale. Nul besoin d’aller à l’autre bout du monde, regardons autour de nous et préservons ce qui est proche.


Hervé GRAILLOT

Plumes blanches - naturels-declics.com -

Entre photographie et dessin…
A partir d’espèces communes, le choix d’une esthétique graphique constitue la force de cette exposition. En effet, comment présenter des photographies d’oiseaux courants de notre pays qui ne soient pas déjà vues et revues ? Telle est la démarche suivie par Hervé Graillot pour construire l’exposition « Plumes Blanches ».
Si la photographie permet de saisir des instants, des attitudes qui sont parfois trop courtes pour avoir le temps de les graver dans sa mémoire, le dessin apporte une touche artistique que la seule image instantanée ne retranscrit pas toujours. Les images deviennent suggestives et ne restent pas uniquement représentatives. Cette exposition n’existe pleinement qu’à travers le regard de ses visiteurs, qui s’imprègnent de ces présentations, et les complètent d’eux-mêmes en reconstituant les plumages blancs sur blanc. De simple observateur, le visiteur devient ainsi acteur de cette exposition.

Source : festival-camargue.fr


Jean-Marc LE MIGNOT

L'Instant - www.ideesite.com

Je suis né au Havre en 1969 et je pratique la photographie depuis de nombreuses années. Mes débuts en argentique n'étaient fait que de photos de famille. Depuis 2009 avec l'achat de mon 1er reflex numérique je me suis lancé dans une démarche radicalement différente, j'explore tout les domaines photographiques, paysage, portrait, animalier, haute vitesse...

Je réalise depuis plusieurs années des photos Haute Vitesse. Il s'agit d'une technique de prise de vue combinant une durée d'exposition aussi courte que possible et un déclenchement précis dans le temps, afin de permettre une synchronisation parfaite avec le phénomène à saisir. Le but est de  figer un instant précis dans une action invisible à l'œil nu.

D'abord attiré par le défis scientifique, je suis maintenant dans une démarche plus artistique et esthétique. Ma série s'intitule "L'instant", c'est l'aboutissement d'un long travail de réflexion et d'expérimentation.


Alain LE MOUEE

La nature mise en scène - Facebook -

Je pratique la macrophoto depuis 47 ans et je suis un adepte d'une prise de vue recherchée, étudiée et travaillée. Je fais tout moi-même, de la collecte de la matière première, à la prise de vue, au tirage, à l'ouverture des contrecollés et à l'encadrement. Les tirages sont fait sur papier mat pour une meilleure perception du cliché.
Regarder alentour est toujours une curiosité. Inutile de s’éloigner de notre campagne tourangelle pour trouver de petits joyaux botaniques. J’ai choisi de les mettre en valeur. Au fil des saisons, la campagne environnante tourangelle fournit une matière première variée et abondante: fleurs des champs, plantes sauvages ou cultivées, végétaux divers. Chaque cliché fait l’objet d’un très grand soin à la prise de vue, d’abord par le choix du sujet en fonction de la collecte du jour, puis la réalisation de la composition, la mise en scène et son originalité, l’ambiance, le graphisme, le cadrage, la profondeur de champ, la maîtrise technique, et le plus important puisque c’est la raison d’être de la photographie, la lumière, naturelle exclusivement.
Enfin, j’y ajoute l’expression de ma propre sensibilité en actionnant le déclencheur. Ce faisant, tout recours à un logiciel de retouche photo reste l’exception. Ma démarche suggère une poésie visuelle d’où émanent la douceur et la sérénité d’une atmosphère de repos et d’apaisement. La fleur, toujours présente, puissante et fragile, ne s’y appréhende que par l’émotion.
Résumé en quelques mots: faire simple, sobre, pur, léger, délicat….et propre. Somme toute, ma signature photographique.

Source : Mondial Art Academia

 


Yves LEFLOCH

Mont Blanc éternel


Tout jeune, je découvre la vallée de Chamonix, lors d'un séjour en préventorium, à la fin de l'été 1958. Depuis, je reste toujours fidèle à mon premier amour pour le " Pays du Mont-Blanc " et viens régulièrement aux Houches. J'ai goûté aux joies des randonnées puis de l'alpinisme. Mais rapidement des problèmes de santé m'ont obligé à renoncer aux grandes courses du Massif... Je prends alors un nouveau chemin, la photographie - mon autre violon d'Ingres - pour continuer à vivre ma passion. En 2008, J' intègre le club photo d’Elancourt “ l’Image en Boite”, et fait ainsi partie de la Fédération Photographique de France. Ce club m'apporte beaucoup dans la maîtrise photographique, tant techniquement qu’artistiquement. Après un premier album de photos en couleur et des montages audiovisuels, je m'oriente vers une recherche plus " artistique " : faire découvrir, en noir et blanc, la splendeur des montagnes de Chamonix, sous une dimension encore plus fabuleuse.

Le massif du Mont-Blanc est l'un des plus petits au monde mais l'un des plus beaux . Avec ses superbes sommets, il est le paradis des «grimpeurs »ce qui fait donner à la vallée de Chamonix le titre de «Capitale de l'Alpinisme».Les sommets immaculés et la verticalité des aiguilles offrent d'immenses possibilités pour le photographe épris de nature grandiose et de liberté, touten acceptant les difficultés de prises de vue, du climat, et d'être présent au bon moment, ce qui n'est pas toujours aisé pour un habitant des Yvelines !Ainsi, je présente une exposition dont les photos, principalement en noir et blanc, ont été prises sur une période de 12 ans. J'ai beaucoup chercher à associer de l'humain dans mes photos, ce qui n'est pas facile en haute montagne.


Stanley LEROUX - invité d'honneur -

Laguna Oscura en savoir +


Patricia MERCIER

Diffractions marines - www.le-regard-de-pat.com - Facebook -

Artiste amateur, après l’aquarelle et la calligraphie, je dessine aujourd’hui mes photos avec poésie et émotion, « Figer ou créer le mouvement, fondre les formes, noyer les couleurs, voilà ce qui me passionne dans la photo ». Mon sac photo ne me quitte plus beaucoup, et je n’hésite pas à partir seule faire un shooting dans une prairie de coquelicots, sur le bord du canal du Berry où j’ai repéré quelques beaux reflets.
Je saisis les scènes comme elles se présentent devant mon objectif.


Azad PETRE

 Un autre regard sur la région - azadphotographie.com - Facebook - Instagram

Photographe autodidacte, passionné par la puissance des images. Elles nous touchent à différents niveaux, selon notre vécu, nos émotions, notre histoire. Après différentes évolutions photographiques l’ère du numérique a apporté beaucoup de nouvelles possibilités.

La photographie est un art à part entière, elle génère des sensations, des réactions mais ne laisse jamais indifférent.


Jean-Michel POUZET

Nouvelles visions surjectives - www.jeanmichelpouzet.com - Facebook - Instagram

Fondateur dans les années 70 du groupe Talasa à Nantes pour une photographie sociale. Milite désormais pour une photographie plasticienne se délivrant de certaines normes académiques ; une Photographie contemporaine, minimaliste, coloriste et narrative, où l’interprétation allégorique est de mise.
Le style est marqué par l’utilisation de grands formats (120 X 240), des images minimalistes aux couleurs éclatantes, des jeux de lignes et des formes. Les sujets sont présentés sous forme de séries, des images en duo avec un texte d’une vingtaine de lignes. Les clichés représentent des objets photographiés en gros plan sur un écrin de ciel, objets qui perdent toute signification objective, totalement détournés de leurs fonctions premières. Le visiteur est appelé à faire usage des deux lectures : celle du texte, celle de l’image et de les gouter ensemble comme si l’une était le miroir de l’autre, comme si l’écrit plus l’image étaient le texte et la musique d’une « chanson photographique ».
La surjectivité (=ni objectivité, ni subjectivité) est revendiquée comme entrant dans un expressionnisme au discours intime.
Les « Nouvelle Visions surjectives »,» représentent le 4ème opus de cette démarche artistique, après trois autres expositions « Séries surjectives », « Impressions symboliques » et « Une Autre Réalité »


Francis ROUFFIAC / Loz Aubrac

Aubrac Terre d'évasion - www.aubrac-photo.fr - Facebook - Instagram

Loz Aubrac : « Natif des contreforts du plateau de l’Aubrac, depuis mes premiers souvenirs, ces lieux remplis d’authenticités font partis de mon histoire. Ma passion pour la photographie, dès l’adolescence, ma vie personnelle et mon activité professionnelle m’ont permis de sillonner ces hauts plateaux, en toutes saisons. Mon émerveillement reste encore entier aujourd’hui au détour d’un sentier, d’une estive ou d’une montagne, délivrant un paysage sans cesse différèrent en fonction des lumières et des contrastes. En 2021, j’ai édité un livre « Aubrac, terre d’évasion », pour guider les lecteurs au fils de mes escapades photos et raconter ce territoire.

A propos « AUBRAC, terre d’évasion »
Au cours de cette exposition, je vous propose une escapade à travers les saisons où l’Aubrac révèle ses joyaux. Cette terre authentique je la parcoure depuis plus de cinquante ans. Ses hauts plateaux s’élèvent à plus de 1200 m d’altitude. Ils regorgent de trésors naturels, cascades basaltiques, lacs glacières, croix, villages de caractère… Au travers d’estives, de Puech en Puech vous découvrirez ses burons isolés et ses célèbres taureaux et vaches aux yeux d’amande. L’hiver, recouvert de neige, des panoramas sans fin, la magie s’opère et vous dévoile des paysages aux beautés scandinaves. Son épais brouillard à couper avec le fameux couteau de Laguiole laissera apparaitre ses rocs granites et drailles millénaires. Le printemps découvrez le plateau aux 1001 couleurs. Narcisses, Jonquilles, Gentianes, orchidées ou encore anémones pulsatives, près de 2000 espèces composent un bouquet floral unique aux senteurs et formes variées. L’été ses estives s’animent, au milieu se dressent les burons, témoins de la présence humaine, les vaches Aubrac, prennent possession des montagnes. L’automne, les hauts plateaux prennent l’allure de petite Mongolie, les couleurs illuminent les boraldes tandis que les brumes matinales viendront vous envoûter par son ambiance et son silence. Au travers de mes clichées, venez imprégner des lumières et des contrastes de l’Aubrac.


Dominique SAUNIER

Impressionnisme Breton

J’ai débuté la photographie au lycée, par l’argentique, principalement en NB en réalisant mes tirages moi même, en passant beaucoup de temps dans le labo à réaliser des post-traitements, virages, virages partiels et montages sous l’agrandisseur… Avec l’arrivée du numérique j’ai pu accéder à la couleur, au post-traitement logiciel et à l’impression de mes photos, sur des papiers « fine art » (sans délaisser le monochrome).

A Propos de Impressionnisme Breton

Cette série est née lors d’un séjour en Bretagne, par un mois de décembre brumeux et froid, dans la région de Moëlan / Mer entre Lorient et Concarneau. Le déclencheur fut pour moi, la visite de Pont-Aven avec ses nombreux ateliers d’artiste peintre et surtout son musée sur l’impressionnisme. Déjà amoureux des œuvres de William Turner, j’ai redécouvert sa vision de la Bretagne, ses ports, ses plages…

Cette série a été réalisée à partir de clichés pris à Doëlan, Mérrien, Brigneau, Port Manec’h et Trévignon.


Alexandra TOULOUSE dite Nenex

La coccinelle à 7 points - Facebook - Instagram

J’ai toujours aimé la photo et après avoir pris quelques cours, j’ai acheté un peu de matériel récent et hop….me voila lancée. Je suis infirmière libérale et la photo permet une évasion à deux pas de chez soi….un autre monde …. Une déconnexion souvent bien utile. Tout me plait ,les grosses bêtes, les petites, voire microscopiques, le paysage et l’architecture des villes, l’astrophoto quand l’occasion se présente ici ou ailleurs.
Pour cette série, c’est la coccinelle à 7 points qui est a l’honneur…..pas loin, dans le jardin…..ou alentour….un petit sujet que je trouve très attachant.


Jean-Marie VIRAT

Ocres de Sicile - www.jeanmarievirat.comFacebook - Instagram

Je pratique la photographie depuis toujours. De l'argentique, et en passant par le labo pour le noir & blanc, jusqu'à la fin des années 90 j’ai basculé sur le numérique dans les années 2000. À partir de 2008-2009 mon activité photo a pris un rythme plus soutenu : grâce aux réseau sociaux j’ai trouvé un public. Quasi autodidacte j'ai suivi un cours de la Ville de Paris sur une année (1999-2000) et participé à quelques stages.

En 2014 je me décide à proposer une première exposition. Depuis j'en réalise régulièrement.

Mon travail est essentiellement esthétique, en couleurs, urbain et graphique, sans dimension « reportage » ou « témoignage ». Les matières et les lignes me fascinent et elles sont primordiales dans l'organisation de mes travaux, qui parfois s'approchent du minimalisme.  Ils ne le sont jamais, mais ils s'apprécient souvent comme on aborderait une oeuvre abstraite. Les humains sont souvent absents ; quand ils ne le sont pas c'est généralement pour soutenir un message issu du graphisme, pour donner vie à un univers très structuré. Mes maîtres : en première place un peintre, Paul Klee. Côté photo : Manuel Alvarez Bravo, Saul Leiter, Harry Gruyaert...

A propos d'ocres de Sicile

En 2018, j’ai passé une semaine à Palerme et j’avais été impressionné par cette ville à l’ambiance si particulière, une vie grouillante au milieu de nombreux bâtiments qui attendent leur reconstruction depuis des années. Durant les confinements je me suis replongé dans les photos, et j’ai eu envie de retourner sur l’île. Comme il était difficile de quitter l’Europe, ce fut ma destination en août 2021. Avec ma série « murs mûrs » j'ai tenté de transmettre les histoires que ces murs nous racontent, avec leurs marques et leurs blessures. Avec « blues » j'ai essayé de capter et communiquer l'ambiance particulière qu'une couleur peut diffuser.
Cette sélection tente une synthèse de ces deux démarches : couleur et traces du temps comme fil conducteur. Avec ces ocres chaleureux, bien trempés, indissociables de ces murs usés, cicatrisés, rapiécés, bricolés, je m'aventure à partager mon émotion sur l'île.
La Sicile qui en a tant traversé en a tant à raconter. Elle a su briller, elle a souvent été chaotique. Actuellement elle vit une période plus difficile mais, toujours fière de son passé, elle reste vivante, dynamique. C'est ce que cette série « ocres de Sicile » s'ingénie à révéler.


Les expositions


Etienne ORSEL

Famille, mode et environnement 1894-1909 et autres œuvres

Par cette présentation de photographies, je souhaite rendre hommage à mon grand père Léon Vallois, photographe amateur qui a décrit la vie d'une famille aisée et de son environnement, dans le petit village de Saint Julien sur Cher au cours des années 1894 à 1909, année de son décès.

 

Léon Vallois, ingénieur X, est  né à Péronne en 1866. C'est le quatrième enfant de Georges Vallois dont la famille est bien connue à Romorantin. Il épouse en 1894 Gabrielle de Grassin avec laquelle il aura sept enfants qui vont devenir le sujet principal de ses photographies avec les mariages célébrés à Saint Julien sur Cher, village où il habite.

 

Près de deux mille plaques de verre sont représentatives des 15 années de sa vie familiale et de l'environnement agricole et religieux de l'époque. C'est aussi un véritable revue de la mode enfantine et des jeux de ses enfants.

 


Le cinéma en Noir et Blanc

Cette exposition est issue de la rencontre de 2 membres de l’organisation du Printemps de la Photographie et des Arts et d’un collectionneur passionné et Romorantinais. Nos échanges avaient débuté avant 2020 mais la période covid et post-covid avaient reporté ce projet. Le plus dur a été de choisir un thème. Très rapidement le cinéma des 30 glorieuses nous parut être un sujet pouvant intéresser les visiteurs du Printemps de la Photographie et des Arts . Notre exposition contribue ainsi à l’éclectisme de notre festival.

Nous avons tous en nous une part de Belmondo, Delon ou Bardot. Nous nous souvenons tous avoir entendu ou siffloté enfant ou adulte la musique du film Borsalino ou un air de notre cher et tendre Bourvil.  Chacun d’entre nous se rappelle avoir vu au ciné ou un dimanche soir à la télé noir et blanc un « bon vieux Gendarme » avec Louis de Funès ou le célèbre « Don Camillo » avec Fernandel. Quelle émotion de revoir Romy dans un film de Claude Sautet avec ses amis, Vincent, François, Paul et les autres ! Quelle partie de rigolade avec les copains en échangeant quelques bonnes répliques de notre ami Michel Audiard ! Qui n’a pas fredonné au volant de sa voiture, une Peugeot 403 ou un vieux camion Citroen HY de préférence, une chanson d’Yves Montand, Charles Aznavour ou Juliette Gréco, chanteurs mais aussi comédiens ! Quel plaisir aussi de retrouver nos vieilles gloires encore durant les années 2000, Claude Brasseur et Mylène Demongeot dans le film à succès « Camping ! Nous sommes fiers de vous présenter toutes ces images empreintes de nostalgie mais toujours accompagnées de joie et de bonne humeur…..


SAFI

Soutien Aux Femmes Indiennes

SAFI est une association Saint-Aignanaise qui a pour but de faire mieux connaître la vie quotidienne des femmes en Inde et de récolter des fonds qui les aideront dans leur formation, l'éducation de leurs enfants et leur autonomie. Elle apporte une aide aux plus démunis de la société indienne en contribuant à des projets concrets en Inde pour leur permettre de sortir du bidonville et de retrouver le sens de leur humanité : construction d'une école dans un bidonville, scolarisation des enfants, ateliers de confection de petits objets, encadrement de familles.


Sologne Nature Environnement

 

 

"Venez vous initier à l'art de la photographie Nature ! "

Nous vous donnons rendez-vous sur notre stand pendant le Printemps de la Photographie à La Fabrique Normant à Romorantin-Lanthenay du Vendredi 24 au Dimanche 26 Mai afin de vous initier à la photographie.

Découvrez comment utiliser votre appareil et vous en servir tel un professionnel en affût ou ou à la billebaude.

Venez jouer avec votre environnement, la lumière, les effets de profondeurs, la netteté, la sensibilité, l'exposition, les mouvements, et tout ce qui vous entoure. La "proxi photographie" vous connaissez ?

De débutant à confirmé, vous serez secondé par un équipe de 3 photographes passionnés et vous deviendrez vite un as dans le domaine.

Limité à 10 personnes maximum.

 

L'inscription à ces animations sont disponibles sur notre site internet : www.sologne-nature.org